mercredi 31 août 2016

Bilan du mois I Juillet & Août 2016

Hello ! ;)

Aujourd"hui je vous retrouve pour vous faire mon bilan des mois de Juillet et Août. Comme l'année dernière étant partie en vacances, je n'ai pas eu l'occasion de m'occuper du blog et donc de vous poster mon bilan de Juillet. Je regroupe donc les deux mois d'été. Dans l'ensemble j'ai passé d'excellents mois livresques puisque plusieurs de mes lectures frôlent le coup de cœur.


Tout d'abord, je risque de me faire taper dessus... Mais ne m'en voulez pas, j'ai donc lu pour la toute première fois le premier tome d'Harry Potter et en vo en plus. J'ai adoré ma lecture, j'ai réellement passé un bon moment. De plus, l'anglais est franchement accessible.







"Harry Potter has never even heard of Hogwarts when the letters start dropping on the doormat at number four, Privet Drive. Addressed in green ink on yellowish parchment with a purple seal, they are swiftly confiscated by his grisly aunt and uncle. Then, on Harry's eleventh birthday, a great beetle-eyed giant of a man called Rubeus Hagrid bursts in with some astonishing news: Harry Potter is a wizard, and he has a place at Hogwarts School of Witchcraft and Wizardry. An incredible adventure is about to begin."






Ensuite j'ai enchaîné avec trois excellentes lectures. Il me reste encore à savoir si je leur attribue le rang de coup de coeur. (Entre nous c'est plutôt un oui mais chut) Il s'agit donc de Everything, Everything de Nicola Yoon, Dans chacun de mes mots de Tamara Ireland Stone et Quand la nuit devient jour de Sophie Jomain.



"Ma maladie est aussi rare que célèbre, mais vous la connaissez sans doute sous le nom de "maladie de l'enfant-bulle". En gros, je suis allergique au monde. Je viens d'avoir dix-huit ans, et je n'ai jamais mis un pied dehors. Un jour, un camion de déménagement arrive. Je regarde par la fenêtre et je le vois. Le fils des nouveaux voisins est grand, mince et habillé tout en noir. Il remarque que je l'observe, et nos yeux se croisent pour la première fois. Dans la vie, on ne peut pas tout prévoir, mais on peut prévoir certaines choses. Par exemple, je vais certainement tomber amoureuse de lui. Et ce sera certainement un désastre."





"Samantha Mc Allister est une fille comme les autres. Du moins en apparence. Elle cache un secret que ses amies, passionnées de mode et de soirées pyjama, ne pourraient pas comprendre : Sam est envahie d'angoisses et de sombres pensées qu'elle n'arrive pas à contrôler. Chaque acte, chaque prise de parole est un véritable calvaire. Pas évident quand on fait partie d'un groupe où tout fashion faux-pas ou crush sur le mauvais mec fait l'objet d'un raz-de-marée de critiques. 
Mais un jour, Sam rencontre Caroline... Enfin, elle peut rester elle-même, voire se confier sur ses séances hebdomadaires chez le psy. Très vite, Caroline fait découvrir à Sam un lieu secret caché sous le gymnase du lycée : le Club des poètes, où chacun peut monter sur l'estrade et réciter ses créations. Peu à peu, Sam se prend presque à se sentir " normale "... Mais pourquoi AJ, le mystérieux guitariste du groupe, ne semble-t-il pas accepter sa présence ? Sam devra-t-elle une fois de plus tout remettre en question ?"




« On m a demandé un jour de définir ma douleur. Je sais dire ce que je ressens lorsque je m enfonce une épine dans le pied, décrire l échauffement d une brûlure, parler des n uds dans mon estomac quand j ai trop mangé, de l élancement lancinant d une carie, mais je suis incapable d expliquer ce qui me ronge de l intérieur et qui me fait mal au-delà de toute souffrance que je connais déjà.
La dépression.
Ma faiblesse.
Le combat que je mène contre moi-même est sans fin, et personne n est en mesure de m aider. Dieu, la science, la médecine, même l amour des miens a échoué. Ils m ont perdue. Sans doute depuis le début.
J ai vingt-neuf ans, je m appelle Camille, je suis franco-belge, et je vais mourir dans trois mois.
Le 6 avril 2016.
Par euthanasie volontaire assistée. »


Après ces lectures riches en émotions, je me suis lancée dans U4, Jules de Carole Trébor et Let the skyfall de Shannon Messenger. J'ai passé de bons moment en leur compagnie.




"Jules vit reclus dans son appartement du boulevard Saint-Michel, à Paris. Il n'a pas de nouvelles de ses parents, en voyage à Hong Kong lorsque l'épidémie a commencé de se propager. Le spectacle qu'il devine par la fenêtre est effroyable, la rue jonchée de cadavres. Mais il sait qu'il ne pourra pas tenir longtemps en autarcie. Pour affronter l'extérieur, Jules redevient le guerrier impavide qu'il était dans le jeu. Il va alors retrouver son frère aîné, qui se drogue et dont il ne peut rien attendre, puis secourir une petite fille qui a mystérieusement échappé au virus et qu'il décide de prendre sous son aile. 
Son seul espoir : le rendez-vous fixé par Warriors of Times."






"Personne ne s'explique que Vane Weston ait pu survivre, enfant, à l'ouragan qui a tué ses parents. À son réveil, étendu parmi les débris laissés par le passage de la tempête, il n'avait pas le moindre souvenir de son passé – à l'exception du beau visage d'une fillette ballotée par les vents. Malgré les années qui passent, elle rend de temps en temps visite en rêve au jeune homme, qui s'accroche à l'espoir qu'elle ne soit pas qu'un fantôme. 
Il ne croit pas si bien dire. L'inconnue, Audra, est un être de chair et de sang, mais elle n'a rien d'humain. C'est une sylphe, une créature liée au vent, qu'elle sait manipuler pour voler dans les airs, transmettre des messages ou livrer bataille. Sa mission ? Le protéger. Malheureusement, l'histoire se répète : une maladresse et Audra révèle à leur pire ennemi l'existence de Vane. Celle qui vient peut-être de causer sa mort est aussi son seul espoir de survie : le jeune homme n'a que quelques jours pour comprendre qui il est vraiment ou c'est la mort qui l'attend. 
Les nuages s'amassent à l'horizon, et un vent mauvais balaie les sables du désert... Survivront-ils à l'orage qui se lève à l'horizon ? Retrouvez la patte unique de Shannon Messenger, de dialogues malicieux en scènes d'affrontements homériques, pour une histoire fantastique où brille une fois encore son immense inventivité."

Je me suis ensuite plongée dans un gros pavé que j'appréhendais pas mal et qui finalement s'est avéré être un gros gros coup de cœur. Je pourrais en parler pendant des heures, il m'a fait passé par toutes les émotions. Il s'agit bien évidemment de La vérité sur l'affaire Harry Québert de Joel Dicker. (Chronique ici)

"À New York, au printemps 2008, alors que l Amérique bruisse des prémices de l élection présidentielle, Marcus Goldman, jeune écrivain à succès, est dans la tourmente : il est incapable d écrire le nouveau roman qu il doit remettre à son éditeur d ici quelques mois. Le délai est près d expirer quand soudain tout bascule pour lui : son ami et ancien professeur d université, Harry Quebert, l un des écrivains les plus respectés du pays, est rattrapé par son passé et se retrouve accusé d avoir assassiné, en 1975, Nola Kellergan, une jeune fille de 15 ans, avec qui il aurait eu une liaison. Convaincu de l innocence de Harry, Marcus abandonne tout pour se rendre dans le New Hampshire et mener son enquête. Il est rapidement dépassé par les événements : l enquête s enfonce et il fait l objet de menaces. Pour innocenter Harry et sauver sa carrière d écrivain, il doit absolument répondre à trois questions : Qui a tué Nola Kellergan ? Que s est-il passé dans le New Hampshire à l été 1975 ? Et comment écrit-on un roman à succès ? Sous ses airs de thriller à l américaine, La Vérité sur l Affaire Harry Quebert est une réflexion sur l Amérique, sur les travers de la société moderne, sur la littérature, sur la justice et sur les médias."

Après ce gros pavé, je voulais une lecture assez courte et qui se lise rapidement. J'ai donc choisi Perdue et retrouvée de Cat Clark. Je dois vous l'avouer ce n'est pas sans appréhension que je l'ai commencé - A kiss in the dark avait été une énorme déception. Finalement j'ai plutôt bien aimé. Bien que quelques points m'aient fait tiquer.





"Essayez d'imaginer: 
Une enfant kidnappée. Une famille déchirée.
Lentement, au fil des ans, cette famille va recoller les morceaux.
Elle reste un peu fragile, bien sûr, mais toujours unie.
Et voilà que l'enfant, devenue adulte, revient à la maison...
C'est là que l'histoire commence. Et si la fin du cauchemar n"était que le début d'un autre ?" 







J'ai également lu en partenariat avec les éditions Allia, Les nouvelles métropoles du désir d'Eric Chauvier qui fut une lecture très intéressante. (Chronique ici)

"Dans la ville natale de l’auteur, trois adolescentes agressent un homme, ou plutôt un type, représentant caractéristique d’une classe d’êtres fashion. Témoin de ce lynchage, Éric Chauvier vient au secours de l’homme mais, déjà, les silhouettes des jeunes filles se sont éclipsées. La victime décline toute aide puis se dirige vers un bar, le bien-nommé Dark Rihanna, “bar-club très tendance”, avaient décrit les journaux au moment de son ouverture. Le narrateur la suit, pénètre à son tour dans ce temple mondialisé – décoration new-yorkaise, murs de briques vertes, plafonniers industriels, le tout orné de reproductions d’œuvres de Basquiat et de Keith Haring, de photographies de William Burroughs ou de Jack Kerouac. La clientèle du bar compose une collection de types : du “gentleman farmer hyperurbain” à la jeune femme un peu queer en passant par une fausse Patti Smith et une Debbie Harry plus réussie. Étranger dans la ville qui l'a vu grandir, l'anthropologue tente de saisir ce qu'il voit sans parvenir à en être lui-même acteur. Comment dans ces conditions devenir l'"observateur participant" prôné par l'ethnologie moderne ? Chauvier souhaiterait commander une bière. Ce qui semble peine perdue, tant les codes du lieu lui échappent.
Devant le jeu de références remâchées qui s'étalent sous ses yeux, de Booba à Rihanna, Éric Chauvier explore avec une ironie pour le moins radicale les failles des représentations, la terreur tapie ou calfeutrée de ces nouvelles métropoles du désir. Parviendra-t-il à consommer ? Dans son non-genre, ce livre est une merveille."

Hier, j'ai fini le livre de Clémentine Beauvais Songe à la douceur. Je termine donc ces deux mois sur un coup de cœur. Songe à la douceur est original et unique, c'est une autre façon de lire mais je vous en parle plus dimanche ;)



"Quand Tatiana rencontre Eugène, elle a 14 ans, il en a 17 ; c'est l'été, et il n'a rien d'autre à faire que de lui parler. Il est sûr de lui, charmant et plein d'ennui, et elle timide, idéaliste et romantique. Inévitablement, elle tombe amoureuse, et lui, semblerait-il, aussi. Alors elle lui écrit une lettre ; il la rejette, pour de mauvaises raisons peut-être. Et puis un drame les sépare pour de bon. Dix ans plus tard, ils se retrouvent par hasard. Tatiana s'est affirmée, elle est mûre et confiante ; Eugène s'aperçoit, maintenant, qu'il ne peut plus vivre loin d'elle. Mais est-ce qu'elle veut encore de lui ? Songe à la douceur, c'est l'histoire de ces deux histoires d'amour absolu et déphasé - l'un adolescent, l'autre jeune adulte - et de ce que dix ans, à ce moment-là d'une vie, peuvent changer. Une double histoire d'amour inspirée des deux Eugène Onéguine de Pouchkine et de Tchaïkovski - et donc écrite en vers, pour en garder la poésie."

Durant ce mois-ci j'ai également mis en pause Did I mention I love you d'Estelle Maksame. Malheureusement je n'arrive pas à rentrer dans l'histoire et à m'attacher aux personnages.




"Eden, 16 ans, va passer l été dans la nouvelle famille de son père, à Santa Monica, en Californie. Il vient de refaire sa vie, ce qui signifie qu Eden a trois nouveaux demi-frères. Le plus âgé, Tyler, est un vrai bad-boy : séducteur, égocentrique, violent ... Mais Eden décèle en lui une grande fragilité, conséquence d'un lourd passé. Fascinée, elle ne peut s empêcher de succomber au charme de la seule personne qui lui est pourtant défendue : son demi-frère"









Je suis plutôt satisfaite de moi puisque je termine les deux mois de juillet et août avec 9 livres lus, 3234 pages lues et j'en suis 63% de mon challenge Goodreads (suis-moi ici)


Articles publiés ces deux mois
Jeu de patience - Jennifer L. Armentrout (ici★★
Ma Pal de l'été 2016 (ici)
La vérité sur l'Affaire Harry Québert - Joël Dicker (ici❤❤❤❤❤
Top 10: La rentrée littéraire 2016 (ici)
Les nouvelles métropoles du désir - Eric Chauvier (ici★★ 
U4, Jules - Carole Trébor (ici★★ 

Et vous qu'avez vous lu ces mois-ci ? Que me recommandez-vous pour le mois de Septembre ?
A très bientôt 
Pauline

6 commentaires:

  1. De bien belles lectures :)
    Je te souhaite un bon mois de septembre !!

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  2. Joli bilan. Je te souhaite un beau mois de septembre ;)
    Contente que tu aies aimé le premier tome d'Harry Potter ♥

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    1. Je compte bien continuer la saga ;)
      Bon mois de septembre

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